jueves, 9 de septiembre de 2010

Quand j’étais une jeune fille j’avais la triste habitude de m’assoir dans un petit banc avec mes gants preferés. J’aimais regarder la vie passer, vous savez?.Elle était très belle, vraiment. L’avez-vous vu? C’est une chose qui mérite l’attention de tout le monde, oui, même la votre. Elle était, à mon souvenir, très étroite et elle semblait aussi un peu douce. Elle provoquait un de ces sentiments de souffrance et d’angoisse inimitables, qu’on ne peut, ni copier, ni mimer, vous savez? Et qui, en plus, déclenchait d’ailleurs une émotion qui me tracasse au moins une minute chaque jour, c’est répulsif. J’aimais veritablement toucher cette existence et la frôler aussi. C’est une façon de rester, comme ça, à rien faire. À se laisser aller. À courir un tout petit peu par le beau ruisseau des sentiments qui éffleurent de quelques idées passagères. J’aimais vraiment voir les petits fils de mon propre esprit. Cela ne se perçoit pas tous les samedi matins, il faut au moins attendre à la nuit ou au moins à la Lune. Parce que personne, et je dis bien : “personne”, peut commencer une fête sans la belle dame blanche.




-J'en ai marre d'etre un oeuf, personne me prends au serieux.

2 comentarios:

  1. Te prometo que algún día me leeré alguna entrada, pero hoy no, que tengo que aprender a escribir sin mirar =)

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